7 nuits à l'hôtel Foresteria Maison Gardagolf, 3 green fees par personne (Golf Club Gardagolf, Arzaga et Chervo) et un dîner dans un restaurant de notre programme culinaire.

L'histoire du Gardagolf, non loin du lac dont il tire son nom, commence en 1986 de l'idée géniale de ses concepteurs : le choix d'un excellent terrain de 110 hectares et ancien domaine de la famille Omodeo et leur merveilleuse villa qui abrite aujourd'hui le Club House, avec un microclimat doux qui permet de jouer toute l'année. Le cabinet anglais Cotton, Penninck, Steel & Partners réalise d'abord 18 trous (les parcours Rosso et Bianco) et ajoute 9 trous supplémentaires (le parcours Giallo) quatre ans après. Les qualités techniques du parcours sont tout de suite reconnues sur le plan international : en 1990 il a abrité l’Open d’Italie femmes, que la belge Florence Descampe a remporté ; ensuite, deux éditions inoubliables de l'Open d'Italie hommes en 1997 et en 2003, où le suédois Mathias Gronberg et l'allemand Bernhard Langer obtiennent la victoire. Le trou 2 du parcours Rosso est sans doute le plus intéressant : un Par 3 de 145 mètres, très sinueux avec des buissons fleuris et des cyprès. Facile de se déconcentrer pour admirer la beauté du cadre naturel… Voilà une grave erreur, car si d'une part la distance est moindre, le green est étroit et le lac qui le protège très vaste. Les pentes du green sont malines et les trois putts sont vite là. Parcours: 18 + 9 trous, Par 72/36, 6055/2798 mètres Architectes: Cotton, Pennink, Steel Topographie: très vallonné avec de grands obstacles d’eau Particularités: les coups longs ne sont pas conseillés. Un jeu “court” et réfléchi, des coups contrôlés sont conseillés. Le golfeur et ses aptitudes sont mis à rude épreuve. Des greens en pente, des allées vallonnées avec des dénivelés importants, la brise du lac et une longueur remarquable en font l'un des golfs les plus difficiles d'Italie. Une bonne concentration, la stratégie et l'expérience sont indispensables. Y jouer son handicap est un challenge. Une suggestion : aux trous 1 ,2, 6 ,8 ,13 et 18 essayez d'éviter des putts en descente. Si on n'a pas la maîtrise de Jordan Spieth, sortir avec deux putts est toute une affaire.

27 trous aux caractéristiques uniques : Arzaga l : ce parcours offre un design stimulant avec une touche de modernité. Caractérisé par ses larges fairways, ses bunkers stratégiquement placés et ses greens rapides, ce parcours est idéal pour les joueurs à la recherche d’une expérience technique et visuelle attrayante. Arzaga II : Créé par le légendaire joueur et designer Gary Player, ce parcours présente un tracé plus traditionnel qui met l’accent sur la précision et la stratégie. Les obstacles naturels, tels que les lacs et les ruisseaux, ajoutent un niveau de difficulté supplémentaire. Le 18e trou est particulièrement remarquable car il offre une vue fascinante à 360 degrés, permettant aux joueurs de profiter d’un panorama époustouflant de l’environnement naturel qui entoure le parcours.

Une plongée dans l’histoire du golf italien. Depuis plus d’un siècle, en effet, les collines occidentales du lac de Garde accueillent ces fairways ondulés et spectaculaires, créés en 1912 à l’initiative d’un hôtelier local et pour répondre aux exigences du nombre croissant de touristes britanniques et allemands. L’atmosphère ici est unique, tout comme le paysage – nous sommes à 100 m au-dessus du niveau de la mer et le lac peut être admiré sur presque toute sa longueur. Ces greens ont été témoins de l’histoire : visité par la royauté et des personnalités célèbres dans les premières décennies, en 1934 pour des raisons d’État le parcours est devenu un champ de blé, transformé ensuite par les troupes allemandes en piste d’atterrissage et plus tard par les troupes américaines en terrain de base-ball en forme de losange. Le retour du golf est daté de 1952. Les trous, qui n’étaient à l’origine que 9, sont passés à 18 en juin 2004. Il vaut mieux laisser chez soi l’envie d’imiter la puissance de Bubba Watson, en recherchant plutôt la précision et l’exactitude : les fairways sont étroits, avec des arbres de chaque côté et des dénivelés parfois importants, peu d’obstacles d’eau prendront soin des balles les plus audacieuses. Dans le bâtiment Art Nouveau qui accueille le clubhouse, simple et confortable, il vaut la peine de visiter le restaurant au premier étage, avec une terrasse qui, les jours de beau temps, offre la vue d’un inoubliable coucher de soleil sur le lac. Parcours : 18 trous, Par 70, 5235 m. Restyling de l’architecte : Fulvio Bani La topographie : Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la pièce n’est pas physique. Seuls les trous 2 et 4 sont en position haute. Particularités : vue imprenable sur le lac de Garde, végétation luxuriante et sentiers parfois étroits. Un parcours qui respire l’histoire et la tradition, avec des fairways délicats et extrêmement étroits et un joyau unique, le 5e trou, où un panorama extraordinaire attend le joueur sur le tee. C’est un par 3 en descente avec une vue imprenable sur une partie du lac de Garde : prenez votre temps pour une photo souvenir. Après, il vous attendent nombreux coups amusants vers des greens petits et très bien gardés. Pourquoi ne pas essayer ?

27 trous aux caractéristiques uniques : Arzaga l : ce parcours offre un design stimulant avec une touche de modernité. Caractérisé par ses larges fairways, ses bunkers stratégiquement placés et ses greens rapides, ce parcours est idéal pour les joueurs à la recherche d’une expérience technique et visuelle attrayante. Arzaga II : Créé par le légendaire joueur et designer Gary Player, ce parcours présente un tracé plus traditionnel qui met l’accent sur la précision et la stratégie. Les obstacles naturels, tels que les lacs et les ruisseaux, ajoutent un niveau de difficulté supplémentaire. Le 18e trou est particulièrement remarquable car il offre une vue fascinante à 360 degrés, permettant aux joueurs de profiter d’un panorama époustouflant de l’environnement naturel qui entoure le parcours.

L'histoire du Gardagolf, non loin du lac dont il tire son nom, commence en 1986 de l'idée géniale de ses concepteurs : le choix d'un excellent terrain de 110 hectares et ancien domaine de la famille Omodeo et leur merveilleuse villa qui abrite aujourd'hui le Club House, avec un microclimat doux qui permet de jouer toute l'année. Le cabinet anglais Cotton, Penninck, Steel & Partners réalise d'abord 18 trous (les parcours Rosso et Bianco) et ajoute 9 trous supplémentaires (le parcours Giallo) quatre ans après. Les qualités techniques du parcours sont tout de suite reconnues sur le plan international : en 1990 il a abrité l’Open d’Italie femmes, que la belge Florence Descampe a remporté ; ensuite, deux éditions inoubliables de l'Open d'Italie hommes en 1997 et en 2003, où le suédois Mathias Gronberg et l'allemand Bernhard Langer obtiennent la victoire. Le trou 2 du parcours Rosso est sans doute le plus intéressant : un Par 3 de 145 mètres, très sinueux avec des buissons fleuris et des cyprès. Facile de se déconcentrer pour admirer la beauté du cadre naturel… Voilà une grave erreur, car si d'une part la distance est moindre, le green est étroit et le lac qui le protège très vaste. Les pentes du green sont malines et les trois putts sont vite là. Parcours: 18 + 9 trous, Par 72/36, 6055/2798 mètres Architectes: Cotton, Pennink, Steel Topographie: très vallonné avec de grands obstacles d’eau Particularités: les coups longs ne sont pas conseillés. Un jeu “court” et réfléchi, des coups contrôlés sont conseillés. Le golfeur et ses aptitudes sont mis à rude épreuve. Des greens en pente, des allées vallonnées avec des dénivelés importants, la brise du lac et une longueur remarquable en font l'un des golfs les plus difficiles d'Italie. Une bonne concentration, la stratégie et l'expérience sont indispensables. Y jouer son handicap est un challenge. Une suggestion : aux trous 1 ,2, 6 ,8 ,13 et 18 essayez d'éviter des putts en descente. Si on n'a pas la maîtrise de Jordan Spieth, sortir avec deux putts est toute une affaire.